L’Odyssée De La Belle Hélène – Les Hiérodules -

L’Odyssée de la Belle Hélène – Les Hiérodules -

Cette nuit bien avancée de pleine lune était calme sans aucun vent, claire et amplement étoilée dans ce ciel grec d’encre où la Grande Ourse étincelait dans toute sa splendeur. La Belle Hélène dormait à point fermé. Mais son sommeil était perturbé par un rêve bien étrange. Mais était-ce vraiment un rêve naturel ou plutôt un rêve dont le scénario était échafaudé par une Divinité qui manipulait son esprit dormant ? On ne saurait dire … Quoi qu’il en soit, ce songe où chaque scène était clairement perceptible emmenait la Troyenne se retrouvant seule à l’extérieur, sans son ami Pégase, devant un immense Temple où la double et haute porte d’entrée était grande ouverte tout en haut de larges escaliers de marbre blanc. Vaste entrée ayant sur ses côtés d’immenses statues imposantes flanquées de chaque côté des marches. Mais aussi d’autres statues de moindre taille placées au-dessus de ladite porte. Elle n’aurait su dire comment, mais étrangement, elle savait pertinemment où elle se trouvait mais ignorait encore la raison de sa présence devant ce lieu de culte du Temple de la Déesse Aphrodite sur le Mont Éryx. Mais, si Hélène ne savait pas pourquoi elle se trouvait là, intuitivement elle ressentait un besoin puissant de s’accoupler, cette sensation forte de ses chaleurs intérieures lui supposait être une explication à sa présence en ce lieu où officiaient les Hiérodules (prostituées sacrées) qui n’étaient autres que les esclaves-prêtresses du Temple s’accouplant avec les fidèles-mâles de la Déesse Aphrodite (fidèles payants le droit à l’accouplement) pour leur permettre d’accéder aux pieds de Divinité par l’expérience charnelle.

De chacune de la trentaine de colonnes impressionnantes par leur hauteur et épaisse circonférence, de chaque volumineuse pierre, semblaient s'échapper toute la Grandeur de Celle auquel le Temple avait été dédié. Hélène se sentait minuscule dans un tel environnement de culte et de tout silence.

Et puis, elle avait cette nette impression d’être épiée, scrutée. Les deux immenses statues d’Aphrodite d’une dizaine de mètres chacune de haut trônant de chaque côté de l’entrée à l’intérieur même du Temple semblaient la regarder fixement quand la Troyenne avançait doucement dans la large, longue et haute nef centrale, entendant juste ses propres pas résonner sur les magnifiques dalles de marbre rose. Alors qu’elle avançait avec précaution droit devant en direction de ce que l’on pourrait appeler un immense autel, Hélène aperçut un vieillard attablé à celui-ci. En effet derrière cette haute table sacrée toute en marbre également, était assis le vieil homme habillé d’une ample toge blanche et semblait tenir un grand registre grimoire sur lequel on pouvait supposer qu’il tenait des comptes d’apothicaire... Il leva la tête à l’arrivée de la Troyenne et lui montrant de la main la direction de droite, il lui dit laconiquement :

- On t’attend

Puis sans un mot de plus, il se remit à son grimoire sans plus faire cas de la Belle Hélène qui n’insista pas à des questions lesquelles aucunes réponses ne seraient venues. Alors sans rien dire elle s’avança sur sa droite, se demandant bien qui pouvait bien l’attendre, même si elle avait sa petite idée, pensant à son divin Epoux Apollon. Une haute porte se trouvait désormais face à elle qui à l’arrivée d’Hélène s’ouvrit toute seule comme par magie divine. Ladite porte passée, elle découvrit alors un spectacle qui aurait surpris n’importe lequel des mortels. En effet, sous ses yeux elle vit les Dieux Apollon et Aphrodite en train de copuler dans le vide suspendus dans les airs et couchés sur ce qui ressemblait à du coton moelleux à environ 1 mètre du sol. Tout autour d’eux, à même le sol sur d’épais tapis, une véritable orgie où une cinquantaine d’Hiérodules dénudées s’adonnaient aux plaisirs de la chair sans aucune pudeur. On forniquait avec énergie dans des gémissements ininterrompus ponctués des cris de jouissances multiples.
Les mâles qui les baisaient, sodomisaient, se faisaient aussi prendre en bouche ne semblaient jamais s’arrêter même après avoir éjaculé mainte fois, ils baisaient de nouveau sans attendre comme si la magie divine les empêchait de débander. Les positions toutes aussi lascives les unes que les autres offraient une palette orgiaque extraordinaire, on appellerait cela de nos jours une véritable méga-partouze, genre ‘orgie romaine’.

Comme écrit tantôt, Hélène en pleine et intense chaleur divine ressentait un besoin puissant de s’accoupler et c’est tout naturellement qu’elle se dirigea vers un homme barbu qui l’apercevant venait de délaisser une prostituée après avoir éjaculé une abondante semence sur ses magnifiques seins. Visiblement toujours très bien membré, il s’avançait vers la Troyenne avec gourmandise la regardant des pieds à la tête d’un regard appétissant. Il arborait fièrement son phallus dressé de bonne dimension tout en marchant tel un prédateur fondant sur sa proie. Au moment même où la main de ce mâle en rut allait toucher l’épaule de la Belle Hélène, il se figea dans le mouvement pour rester ainsi telle une statue. Et tout d’un coup, plus aucun gémissement dans cette vaste salle, plus aucun bruit ne se fit entendre, laissant place à ce silence absolu qui tranchait à ses oreilles par rapport aux plaintes de plaisirs, qui jusque-là comblaient la pièce. On aurait dit que le monde s’était arrêté. Hélène découvrit que tous les acteurs de l’orgie furent mis en ‘’arrêt sur image’’ tous étaient figés telles les personnages de Pompéi. Mis à part Hélène, un seule couple ne s’était pas figé, Apollon et Aphrodite qui toujours sur leur nuage de coton suspendu continuait comme si rien ne s’était passé.

Ils ne firent même pas cas de la Troyenne et continuaient à baiser avec volupté. Apollon pénétrait Aphrodite en levrette tout en douceur dans un rythme lent et régulier tel un métronome bien réglé. La Déesse exhibant son magnifique cul arrondi, les mains au sol cotonneux, sa tête d’une beauté extrême.
Elle prenait visiblement un plaisir immense à se faire baiser ainsi par le Dieu de la Beauté Masculine au membre impressionnant. Hélène ne put s’empêcher d’approcher pour voir de plus près cet accouplement Divin d’une copulation au rythme régulier et toujours aussi lent. Elle était profondément dans un état d’excitation telle une véritable chienne en chaleurs, qu’elle commençait déjà à masturber son sexe tout en observant attentivement la belle copulation Divine qui s’offrait à son regard gourmand. Elle aurait voulu participer, comme par exemple venir lécher les grosses couilles d’Apollon qui lui faisaient tant envie tandis que le Dieu baisait la belle, la très belle Déesse Aphrodite … Mais le couple des Divinités semblait l’ignorer, comme si Hélène et tout ce qui l’entourait, n’étaient pas présents autour de l’environnement des divins Fornicateurs. Alors Hélène, en se caressant, évoluait doucement autour de ce nuage de coton qui leur servait de couche ‘nuptiale’. La troyenne compris alors très vite que ce qu’elle voyait n’était peut-être pas réel, mais juste une image, une vision, comme une émission en ‘direct’ venant directement de l’Olympe ou d’un autre lieu Divin.

Hélène mouillait tellement que, n’y tenant plus au bout d’un moment, tenta d’approcher sa main sur les fesses magnifiques d’Apollon juste pour les caresser et dès ce contact tactile sur la divine peau, elle sentit comme un fluide doucereux lui traverser tout le corps. Hélène était transportée, de fait, dans un autre monde empli de sensations d’extases. La main collée aux fesses divines, la Troyenne se mit à trembler de tout son être mais pas un tremblement de crispation, non au contraire, un doucereux et délicieux tremblement de bien-être, ressentant une sorte de douces décharges jouissives remontant sur toute son échine. Elle comprit alors que tout son corps, toutes ses cellules de son organisme étaient en train de jouir dans un état continu sans excès, une jouissance non explosive mai plutôt lente et permanente, ininterrompue, qu’elle était entrée en osmose parfaite avec les deux Divinités, qu’elle communiquait directement avec Elles, qu’elle ressentait en réalité à ce qu’Apollon et Aphrodite ressentaient au même moment…

Et puis tout d’un coup, comme emportée dans ce tourbillon de béatitude, de plénitude excitante, et alors que sa cyprine coulait le long de ses cuisses, tout se mit à tournoyer autour d’elle.
Hélène fut comme happée, elle sentit que ses pieds ne touchaient plus terre … Ce tournis s’amplifia et elle ne contrôlait plus son corps. Plus ça tournait vite, plus sa jouissance, jusque-là régulière, montait en puissance. L’accélération de ce tournoiement faisait monter son degré de plaisirs jouissifs, jusqu’au moment où le flou se fit autour d’elle. Hélène n’aperçut plus que le coton moelleux du nuage, les deux Divinités avaient disparues, mais si le sens de la vue fut réduit à ce nuage, le sens du toucher restait fort et même s’accentuait car elle ressentait désormais une forte chaleur dans sa main toujours collée à la fesse d’Apollon…

Le vertige du tournis, la main bouillante, le sexe en feu laissant couler des flots de cyprine, Hélène explosa alors dans des orgasmes atomiques ! Elle comprit qu’elle jouissait si puissamment, si démentiellement en même temps que les deux Divinités. Qu’elle ressentait ce qu’Apollon et Aphrodite étaient en train de ressentir, que leurs orgasmes d’une puissance extrême déferlaient au même moment dans son corps d’humain. Alors elle se mit à hurler d’incroyables plaisirs foudroyants. Des hurlements extrêmes de jouissances démentielles, d’explosions impensables et effrénées pour une mortelle … Ses tremblements devenaient terribles comme si Hélène était collée à une ligne électrique à haute tension mais sans en mourir, au contraire juste pour en jouir pleinement ! Et Quelles jouissances … La Belle Hélène entendait à l’unisson la Déesse Aphrodite hurler son plaisir en même temps qu’elle. Elle entendait aussi ce que la Divinité entendait, c’est-à-dire Apollon qui émettait de très longs râles de plaisirs à n’en plus finir …

C’est comme si la Troyenne sentait les mains du Dieu lui tenir fermement les hanches, la prendre bestialement, la besogner, elle sentait le long et épais phallus d’Apollon la prendre dans des coups de reins puissants, virils, profonds. Bref, tout ce que ressentait la Déesse, elle le vivait, le ressentait pleinement au même moment. La Divinité mâle qui se vidait les couilles dans la chatte en feu d’Aphrodite, Hélène sentait cette même sensation dans son sexe tout aussi excité … Hélène sentait la semence divine s’écouler en elle comme aussi les mains puissantes du Dieu lui fesser le cul … Et c’est dans une ultime et prodigieuse explosion orgasmique emplie de cris jouissifs à la sonorité puissante que tout d’un coup, tout s’arrêta … Elle rouvrit les yeux et se réveilla d’un bond sur sa couche… Ce divin rêve était arrivé à son terme, la nuit étoilée de la pleine lune et son calme silencieux étaient revenus. Jamais elle avait fait un rêve érotique aussi puissant, aussi intense … Il lui fallut du temps pour retrouver une respiration normale … pour réaliser que ce rêve n’était pas naturel mais bel et bien orchestré par son Epoux, le divin Apollon … Et quand elle regarda son sexe, qu’elle se toucha, elle constata que sa cyprine abondante s’échappait de sa chatte … Ce rêve avait véritablement excité son bas-ventre … Qu’elle venait de vivre des plaisirs rarement égalés et transmis par les deux Divinités en train de s’accoupler …

(A suivre …)

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